-s’est révélée réellement convaincante : si la première peut être “risquée” du point de vue de
-la convergence, la seconde est souvent loin d’être triviale à mettre en oeuvre (sauf dans le
-cas quadratique) et généralement inutilement coûteuse : en effet, à quoi bon calculer très
-précisément un pas optimal dans une direction qui n’est peut-être pas la bonne ? (comme
-c’est par exemple le cas pour la méthode de plus profonde descente). Les recherches
-linéaires modernes reposent sur l’idée qu’un pas de descente acceptable est un pas qui fait
-“suffisamment” décroître la fonction objectif. Reste alors à définir les pas qui sont
-acceptables et ceux qui ne le sont pas.
+s’est révélée réellement convaincante : si la première peut être “risquée” du point de vue de la convergence, la seconde est souvent loin d’être triviale à mettre en oeuvre (sauf dans le cas quadratique) et généralement inutilement coûteuse : en effet, à quoi bon calculer très précisément un pas optimal dans une direction qui n’est peut-être pas la bonne ? (comme c’est par exemple le cas pour la méthode de plus profonde descente). Les recherches linéaires modernes reposent sur l’idée qu’un pas de descente acceptable est un pas qui fait “suffisamment” décroître la fonction objectif. Reste alors à définir les pas qui sont acceptables et ceux qui ne le sont pas.